Cette fois-ci, ce fut Amandine qui tua le hunk (c'est pas vrai mais c'est plus romantique). D'ailleurs, on reconnaît bien sa "patte", si j'ose dire, sa signature sanguinaire sur le mur. Quelle artiste.
En tant que mari de la tueuse de Hunk, je porte, durant 3 jours et 3 nuits, le boubou blanc que vous voyez ici.
Amandine, ci-dessus, après son meurtre. Le regard sanguinaire. Le monde n'est pas toujours si merveilleux qu'il le paraît, de prime abord, c'est vrai. Mais un dicton que j'invente sur le moment ne dit-il pas : "Le sanguinaire exulte en dedans" ? C'est vrai.
Mais, finalement, on se demande si ce sont bien des hunk ces choses-là. Si ça se trouve, on fait que tuer des margouillats ces temps-ci. Allez savoir !
5 commentaires:
you're a Killer yeah. en tous cas moi, je sais pas si j'y arriverai à tuer un hunk... ça fait trop peur. Peut-être qu'en criant très fort et en appelant au secours... c'est quoi l'arme du crime ? une fourchette ?
c'est ignoble !! meurtriers !!
"Et il y en a beaucoup des Hunks au Sénégal ?"
- "Eh bien, de moins en moins depuis que nous y sommes."
Ca fait plaisir de voir vos frimousses...
Bises
Mais euh, c'est quoi... ce regard de killeuse !!! Mandine, c'est vraiment toi derrière ce masque de Jack the ripper !!! Je ne peux le croire. Qu'est devenu le monde merveilleux d'Amandine ? Rentre vite en France avant de te "faire" toute la réserve de Bandia à mains nues...
Mandine l'incroyable Hunk
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